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Des Nouvelles de la Villederie #6
NEWSLETTER #6
Salut à toustes !
Nous voici donc à notre sixième newsletter depuis notre arrivée à la Villederie en mars 2024. Un an et demi maintenant qu’on est là. Que le temps passe !
Nous commencerons cette newsletter en plein été avec la célébration de notre arrivée à La Villederie. Cette crémaillère est venue ajouter un bain de soleil à notre été déjà bien ensoleillé. Une partie de nos familles et copaines est venue célébrer notre installation avec nous (désolé si vous n’étiez pas invité, on avait peur de nous faire submerger par le monde). Les personnes présentes ont pu partager des moments festifs, des moments d’émotion, des instants de beauté et des rencontres et discussions enrichissantes. Il y a eu des concerts, des spectacles, des DJ sets ainsi que des belles baignades à la Tardes, des jeux en tout genre et une highline (slackline en hauteur) pour l’occasion.
Des Nouvelles de la Villederie #5
L’hiver
L’hiver a été ici, on peut le dire, rude. Non pas parce que les températures étaient étonnamment basses, ni que la neige par sa tombée a figé l’espace-temps. Mais bien parce que les travaux étant ce qu’ils sont, le meilleur scénario n’est jamais celui du réel. Le meilleur scénario nous promettait un hiver au chaud près du poêle dans le salon de notre maison presque finie. Le réel a très vite balayé ce doux rêve de nos têtes pour y poser ses bases. La cuisine d’été s’est transformée en cuisine quatre saisons, cuisiner le soir est devenu une épreuve d’endurance. Nombreux ont été les matins où nous n’avions plus d’eau au robinet, car elle avait gelé dans les tuyaux durant la nuit. Tout liquide laissé au hasard de la nuit nous offrait un joli glaçon du lendemain. Nous avions néanmoins installé une caravane dans la cour en guise de salon, avec un poêle qui fut le témoin de nos soirées les plus chaleureuses. Le modus operandi était, à quelques exceptions près, le même. La journée de travail achevée, nous rentrions dans l’antre, munie.s de nos combinaisons de ski et très vite, elles tombaient pour laisser place à plus de légèreté. Nous avons joué, beaucoup.
Des Nouvelles de la Villederie #4
Bonjour !
Pour rappel, nous étions début juin au tout commencement des travaux. Nous voulions isoler notre toiture à la paille et aménager l’étage de la maison pour y faire un deuxième espace de vie et deux chambres.
Afin de faire place aux travaux, nous avons cessé d’occuper la maison et investi une des granges pour y établir un lieu de vie temporaire : un espace cuisine avec deux longues tables où nous avons pu partager de grands repas, un espace salon, terrain pour les parties de coinche et autres jeux, un tissu aérien, des canapés, un vidéoprojecteur et j’en passe. Avec une grande entrée donnant sur la cour, et une large vue sur la toiture et son avancement.
Des Nouvelles de la Villederie #3
Cela fait maintenant un peu plus de trois mois que nous sommes arrivés à la Villederie. Il est grand temps que je vous fasse un petit récapitulatif de toutes les avancées de nos projets !
D’abord concernant les activités agricoles, les premières cultures ont bien été implantées : ce sont 12 hectares de sarrasin que nous avons semés à l’aide de Jean-Marc, notre cher voisin. Grâce à ses machines et son expérience, nous avons pu effectuer ce travail avec brio. Le sarrasin est une culture qui a un intérêt agronomique non négligeable. On qualifie souvent cette culture de nettoyante, car dans les bonnes conditions, le sarrasin lève rapidement et étouffe tout ce qu’il y a en dessous. Les parcelles sont alors (partiellement) débarrassées d’adventices qui pourraient nous gêner dans nos futures cultures.
Des Nouvelles de la Villederie #2
Comme Alice l’a écrit dans la première lettre, nous attendions donc l’arrivée de notre transporteur à Guzargues pour embarquer une grande partie de nos affaires. Les derniers préparatifs se sont fait sous une pluie battante : charger l’unimog de ses plaques de 400 kg, déplacer nos boites de 700 kg au point de rendez-vous auprès d’une pelleteuse fébrile, remplir nos propres véhicules, remettre à neuf les feux de la caravane, vérifier la pression de nos pneus… Le lendemain, le camion porte engin est arrivé et notre chorégraphie massive a pu démarrer.